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Les origines de la ville

 

Situé aux confins du Berry et du Bourbonnais, au confluent de deux rivières paisibles (le Cher et la Marmande) et au pied de trois éperons rocheux, le site semble avoir attiré l'homme dès le néolithique, les collines voisines portant en effet sur leurs pentes de nombreuses traces de cette occupation primitive.

 

L'étape suivante d'occupation du site a été récemment précisée grâce à plusieurs campagnes de fouilles. Il s'agit d'une occupation gallo-romaine, dont il est difficile à l'heure actuelle de dire si elle est une occupation rurale éclatée à partir des voies gauloises et romaines ou si elle a eu, dans le site, un "épicentre" qui se situerait autour de l'actuelle église.

 

Il semble que la formation de la cité remonte au VIIème siècle, période à laquelle un ermite de Bourges, saint Théodulphe, y fonda un couvent. Les moines défrichent dès lors les forêts couronnant les côteaux et assainissent peu à peu les terres humides bordées par les méandres du Chignon et de la Marmande. Ils construisent également une église qu'ils dédient à Saint Amand, évêque-ermite né dans la région de Nantes, évangélisateur en France et en Flandres. Cette première église disparaît sans laisser d'autre trace que son nom, qu'elle transmet à la minuscule et pauvre communauté qui l'anime alors et d'où va naître la ville.

 

Un modeste château de bois, érigé sur une motte féodale baignée par la Marmande, apparaît au XIème siècle.

Sous cette protection, Saint-Amand-le Chastel se constitue définitivement un siècle plus tard. Couvrant l'actuel quartier de la paroisse, cette cité peu étendue s'entoure de murailles protégeant ainsi l'église romane que l'on vient juste d'y bâtir.

Le premier seigneur de Saint-Amand-le-Chastel, jusqu'ici repéré dans les textes, Guillaume de Saint-Amand, appartient à la puissante famille de Charenton (1096).

 

La charte de franchise (1266)

 

Au XIIème siècle, Ebbes VI de Charenton accorde une charte de franchise aux habitants de la cité (l'original de cette pièce est aujourd'hui conservé aux Archives départementales du Cher, sous la cote E 205).

 

A travers les différentes clauses, on a une vue très précise de la ville, des professions représentées (bouchers, cordonniers, boulangers, forgerons, marchands de peaux...) et des domaines que se réservait le seigneur (notamment les fours).

 

La franchise établit la libre circulation des bourgeois de la ville. Ils sont dispensés des péages sur l'étendue de la seigneurie : « Monseigneur Ebbes de Charenton a fondé la ville libre de Saint-Amand ; quiconque voudra venir s'y établir avec son argent, y vienne librement, et s'en retourne quand bon lui semblera ».

 

La charte établit les rapports entre la communauté des habitants et le seigneur, mais règle également le pouvoir judiciaire : « Quiconque aura frappé du poing un de ses co-bourgeois devra trois sols, si plainte en est portée devant le seigneur ; et le plaignant aura droit à des dommages. Si le coup a fait couler le sang, l'amende sera de sept sols et demi ; elle sera double si le sang est sorti par la bouche du navré ».

 

Cette charte de franchise, confirmée au XIVème siècle, marque le véritable démarrage de la ville, les avantages attirant les populations alentours. Bientôt la population déborde vers l'est et vers l'ouest en dehors de fortifications.

 

Les troubles du Moyen Âge (XIIIe-XVe s.)

 

Mais en 1208, un seigneur différent est connu sur la butte de Montrond. Les militaires s'étaient en effet intéressés depuis fort longtemps à la butte de Montrond qui présentait une valeur stratégique indéniable pour les armes de l'époque.

 

On ignore à partir de quelle date l'on a commencé à fortifier la place, mais il est fait mention, dès le XIIIème siècle, d'une citadelle déjà puisamment organisée, dépendant de la Maison d'Albretdont il semble que le connétable vivait en son château d'Orval, sur l'autre rive du Cher.
Pris et détruit au début de la guerre de Cent Ans, Montrond est reconstruit plus solide et plus puissant. Les travaux sont terminés lorsque les Anglais viennent piller et brûler Orval, en 1412.

 

Deux conséquences, importantes pour la ville de Saint-Amand, découlent de ce saccage de la cité voisine. La première est que les habitants d'Orval, réfugiés sur la rive droite du Cher sous la protection de Montrond, apportent leurs activités avec eux. Les ajoutant à celles de Saint-Amand-le-Chastel, ils donnent une vigueur nouvelle à l'économie locale. La seconde est que cette population nouvelle se fixe dans les quartiers neufs fondés à l'ouest de Saint-Amand-le-Chastel, désormais à l'étroit dans sa trop petite enceinte.

 

Ainsi naît, au XVème siècle, la ville neuve de Saint-Amand, édifiée sur les terres dépendant de Montrond et bientôt appelée, de ce fait, Saint-Amand-sous-Montrond. Unie à sa cité mère par une courte rue Entre-les-Deux-Villes qui existe encore, cette seconde cité s'entoure de murailles à partir de 1431 et joue un rôle unificateur important : située entre deux seigneuries jalouses de leurs prérogatives et souvent rivales, elle voit sa population, issue de souches pourtant différentes, se considérer comme les habitants d'une même agglomération et se fondre en une seule communauté, à laquelle la prospérité ne tardera pas à sourire.

 

Le commerce, rendu facile par les ponts (trois sur la Marmande et un sur le Cher) devient prospère. Au début du XVIème siècle, il existe six foires rien que pour Saint-Amand-sous-Montrond, dont la plus importante, celle d'octobre, porte aujourd'hui encore le nom de « foires d'Orval ».

 

A l'aube du XVIème siècle, nous avons donc à quelques mètres l'une de l'autre, deux villes indépendantes entourées de remparts, Saint-Amand-sous-Montrond devenant peu à peu le siège de tous les pouvoirs (sauf paroissiaux) et Saint-Amand-le-Chastel amorçant sa décadence vers un bourg essentiellement rural.

 

Montrond dans sa splendeur (XVIe s.)

 

Remanié et agrandi à plusieurs reprises, le château de Montrond passe de mains en mains, notamment celles de Sullyen 1606, qui en demeure propriétaire durant quinze ans.

 

Il confie à Nicolas Ducrot, maître architecte, la reconstruction du corps de logis « fort incommode et peu logeable pour sa grandeur », mais conserve tours et tourelles attenantes, ainsi que les profonds fossés taillés dans le rocher, qui en font alors la plus forte place du Berry.

Le sculpteur Lafrimpe et le peintre Jean Boucher sont quant à eux chargés de la décoration des appartements. A la fin de 1610, malade et en semi disgrâce après la mort d'Henri IV, Sully se retire plusieurs mois à Montrond.

 

Contraint d'abandonner ses places du Berry méridional, Sully cède Montrond en 1621 au prince Henri de Condé, duc de Bourbon et père du Grand Condé, dont Bossuet fera plus tard l'oraison funèbre. L'enfant, héritier présomptif du trône de France pendant dix-sept ans et porteur, de ce fait, du titre de Premier Prince du Sang, passe sa jeunesse au château. On le voit faire, vers la septième année, ses classes de futur et illustre chef de guerre en commandant (en latin) les enfants du voisinages dans les fossés de Montrond.

 

Montrond est alors à son apogée. Condé y fait notamment ajouter une chapelle, peinte et sculptée, mais confie surtout à Jean Sarrazin, « mathématicien de Monseigneur et son intendant des fortifications », des travaux visant à faire de la colline une place imprenable (1636-1646). Doté d'un triple système de fortifications bastionnées, l'ouvrage va très vite se trouver confrontré au siège des troupes royales.

 

La Fronde et le siège de Montrond (1650-1653)

 

En 1651, la Fronde des Princes conduit en effet le jeune Louis XIV à le faire investir.

 

Sous les ordres du maréchal de Palluau, 4.000 soldats investissent alors la ville, logeant chez l'habitant, pillant les faubourgs et incendiant pour les besoins de la guerre.

 

Pendant de longs mois, le pays saint-amandois est ainsi dévasté tant par les assiégés que par les assiégeants. Des épidémies provoquées par la disette fauchent des communautés villageoises entières et l'on assiste peu à peu à un exode massif vers Lignières et Châteauneuf.

 

Défendu par le marquis de Persan, Montrond ne se rend qu'après onze mois de siège, menacé par la famine.

Le 1er septembre 1652, les vingt survivants sortent de la forteresse « tambour battant, enseigne déployée et mèche allumée ».

 

Furieux d'avoir vu son autorité remise en cause, Louis XIV ordonne le démantèlement immédiat de la forteresse mais force est de constater que, faute de poudre, celui-ci resta symbolique et partiel.

 

Essor et reconstruction (XVIIe-XVIIIe s.)

 

A la fin du XVIIème siècle, Saint-Amand se présente donc comme deux villes distinctes ceintes de remparts, l'une très ancienne serrée autour de son château et de son église (village plutôt que ville puisque qu'y vivent principalement vignerons et manœuvres), l'autre groupée autour de sa place du marché, plus bourgeoise, lieu de résidence des officiers, des pouvoirs municipaux et des marchands, et quelques faubourgs (les Grands-Villages, le Cheval-Blanc, la Rue Aux-Blanches...) où se retrouvent vignerons, artisans et métiers dont les dangers de la professions excluent toute présence intra muros, tels que les potiers ou les tuiliers.

 

L'activité économique est très diversifiée et somme toute assez florissante. Colbert y implante par exemple une fabrique de bas tricotés qui fonctionnera jusqu'à la Révolution. La culture de la vigne y est très importante, de même que la culture de l'ail (Saint-Amand s'est ainsi appelé pendant un temps Saint-Amand-l'Ailler).

 

La vie religieuse y est aussi très importante avec pas moins de six lieux de culte : l'église paroissiale, la commanderie de Saint-Antoine, le couvent des Carmes, le couvent des Capucins, l'hôtel Saint-Vic siège de la confrérie des religieuses de la Congrégation de Notre-Dame, la chapelle des Pérons, sans parler de la chapelle privée du château de Montrond.

 

Saint-Amand met dès lors à profit les périodes d'essor et de paix du XVIIIème siècle pour se développer et consolider son administration municipale. Notons qu'en 1753, les deux seigneuries voisines sont rachetées par un seul et même seigneur, Mademoiselle de Charollais, mettant ainsi un terme à la séparation féodale et au caractère bicéphale de la ville.


A la veille de la Révolution, Saint-Amand est donc une petite cité de près de 6.000 habitants encore largement tournée vers l'économie rurale.

 

En 1785, dans un tableau (certes un peu flatteur) dressé par l'un de ses notables, la ville apparaît comme une capitale religieuse, économique et administrative : « La ville de Saint-Amand par sa position, son commerce, son étendue, et ses différentes juridictions doit passer pour la seconde et une des plus riches du Bourbonnais, de plus elle est située dans un pays très fertile en bled, vins, fruits et qui produit d'excellents pâturages pour les bestiaux » (A.M. Saint-Amand-Montrond, FF 1, pièce n°19).

 

Il semble que si la Révolution a eu ses zélateurs, elle n'a néanmoins jamais pris à Saint-Amand (rebaptisé Libreval durant la période révolutionnaire) une allure terrifiante comme ce fut le cas dans d'autres villes du département. Le duc de Béthune-Charost, ancien seigneur de Saint-Amand de 1766 à 1778, mis en accusation sous la Terreur, sauva d'ailleurs sa tête grâce à une intervention unanime de la population saint-amandoise.

 

L'expansion économique (XIXè s.)

 

Légèrement plus importante que Montluçon à l'aube du XIXème siècle, Saint-Amand connaît alors de grands bouleversements physiques, motivés par des mesures d'hygiène ou de sécurité publique.

 

Jusqu'en 1830, des campagnes de destruction des remparts et de comblement des fossés sont menés, des voies plus larges sont tracées et un vaste projet d'ouverture de fontaines publiques est étudié.

 

La destruction des remparts ouvre le ville sur un autre monde ignoré jusque là, transformant alors l'économie locale, ses moyens et ses rayons d'action. L'arrivée du canal de Berry en 1840 puis du chemin de fer participent grandement à ce développement économique.

Dans le même temps, les industries familiales commencent à se développer, notamment les imprimeries avec l'implantation en 1832 de Robert Destenay (qui édite l'Echo du Cher, journal à tendance cléricale), bientôt rejoint par l'imprimerie Daniel Chambon (qui connaît le succès avec la parution de 1879 à 1944 du Nouvelliste du Cher, journal radical républicain et anticlérical).

 

A côté des imprimeries apparaissent les distilleries dont les produits vont vite faire le tour de l'hexagone : la maison Fournier-Demars, fondée en 1865, connue pour son Zeste, son Imperator (qui remplacera l'absinthe lors de son interdiction) et surtout le Un Fournier ; la maison Noyer dont le nom est inévitablement lié à la Prunelle. La consommation de la bière se développant, Saint-Amand aura même sa propre brasserie (maison Petit, fondée en 1846).

 

A partir de 1888, la bijouterie s'installe également à Saint-Amand avec l'arrivée de Paul Moricaud, patron d'une entreprise parisienne. Notons qu'un siècle plus tard, la ville est devenue le troisième centre français de bijouterie, traitant trois tonnes et demi d'or chaque année, soit un peu moins de 10 % du tonnage français.

 

Néanmoins, force est de constater que la grande industrie ne fait qu'effleurer la ville au cours du XIXème siècle. La ville ne se relèvera d'ailleurs jamais totalement de cet envol négligé. De son esprit de relative indépendance, elle gardera toutefois un goût réel de la démocratie qui portera par exemple certains de ses habitants à s'opposer ouvertement au coup d'Etat de Louis Napoléon Bonaparte.

 

La Belle Époque et l'entre-deux-guerres (XXe s.)

 

La vie de Saint-Amand à la Belle Epoque semble avoir été marquée, comme dans beaucoup d'autres villes, par un grand dynamisme culturel et social. Les Saint-Amandois fréquentent alors les cafés, les bals populaires ou les cafés concerts (on compte au total plus de 140 établissements au début du XXème siècle !).

 

Jusqu'à la Première Guerre Mondiale, les vies sociales et culturelles sont très développés : fêtes patriotiques ou politiques, louées,concours de pêche et foires assurent la vie des quartiers. Les représentations théâtrales sont également très prisées (un théâtre voit le jour en 1840, sur la place de la République).

 

En août 1911, un gigantesque meeting aérien se tient à Saint-Amand, auquel se pressent plus de 8.000 personnes (l'équivalent ou presque de la population de la ville). A cette longue liste de festivités qui marquèrent la Belle Epoque, on peut aussi ajouter l'envol de l'aéronef Lavoisier à l'occasion des foires d'Orval de 1890, l'inauguration du groupe scolaire Mallard en 1902, ou encore la venue en 1905 du cirque Maccadon (qui a d'ailleurs laissé son nom à un quartier de la ville).

 

La guerre de 1914-1918 va mettre un terme cruel à cette période de relative insouciance. A la fin du conflit, la ville comptera 200 morts ou disparus. L'entre-deux-guerres va confirmer confirmer les problèmes déjà mis en relief au XIXème siècle. Stagnant dans sa vocation rurale, Saint-Amand va se retrouver de plus en plus isolée.

 

Sur le plan politique, le Saint-Amandois reste pour l'essentiel sous l'influence de la gauche d'abord radicale puis de plus en plus marquée.

En 1936, avec le Front Populaire, Robert Lazurick est élu député et maire socialiste de Saint-Amand. La ville lui doit de nombreux aménagements (installation de l'hôtel de ville dans l'ancien couvent des Carmes, création de bains douches et d'une caserne de gardes mobiles, aménagement des jardins du musée...).

 

Les années noires (1940-1944)

 

C'est dans un contexte bien difficile qu'éclate le second conflit mondial, qui laissera dans la ville des blessures durables.

 

La Résistance, comme un peu partout, est implantée en Saint-Amandois dès le début de l'année 1942, mais se renforcera en 1944.

L'arrestation par la Gestapo de Pierre Lecène, sous-préfet de Saint-Amand, le 2 juin 1944, puis l'annonce par la radio de Londres du débarquement en Normandie le 6 juin 1944, déclenchent les opérations de libération de la ville.

 

Saint-Amand-Montrond se libère le 6 juin. Elle est l'une des premières villes de France à le faire, mais la victoire est de courte durée car le 8 juin 1944 au matin, les troupes allemandes rentrent dans la ville. En outre, la prise en otage par les résistants de Mme Bout de l'An, femme du secrétaire national adjoint de la milice, provoque de violentes représailles : incendie de plusieurs immeubles (place Mutin et cours Manuel, en face de la halle), bombardement de la ville (notamment de la place de la République) et exécutions de 13 otages pris parmi les hommes de la population Saint-Amandoise.

 

Passant très près d'une destruction totale, Saint-Amand a sans doute vécu là les heures les plus douloureuses de son histoire contemporaine.

Le 7 juillet, le cadavre de Félix May, président de la communauté juive, est repêché dans le canal de Berry. Dans la nuit du 21 au 22 juillet, 70 membres de la communauté juive de Saint-Amand et des familles juives réfugiées dans le Saint-Amandois depuis l'automne 1939, sont arrêtés par la milice et la Gestapo. 36 d'entre eux, des hommes et des femmes, seront assassinés quelques jours plus tard dans les puits de Guerry.

 

La libération totale de la ville n'interviendra que le 13 septembre 1944, portant le bilan de ces quatres années de conflit à 224 tués.

 

En 1952, le secrétaire d'Etat à la Guerre attribuera à la ville de Saint-Amand-Montrond,  la Croix de Guerre avec étoile d'argent.

 

Pour en savoir plus...

 

Ainsi s'achève ce rapide tour d'horizon de l'histoire de Saint-Amand-Montrond. Pour plus de détails sur ces différents événements, on pourra consulter avec intérêt les ouvrages suivants :

 

> BUHOT DE KERSERS (A.), Le canton de Saint-Amand - Histoire et statistique monumentale du département du Cher, éditions du Bastion, Paris, 1892.

> CHEVALIER DE SAINT-AMAND, Recherches historiques sur Saint-Amand-Montrond, 1845.

> DELALANDE (Bernard), De la Milice au Maquis, Bussière, Saint-Amand-Montrond, 1945.

> DUMONTEIL (François), Une ville seigneuriale en 1789 - Saint-Amand-Montrond, éditions Lucien Souny, Saint-Amand-Montrond, 1887.

> HUGONIOT (Jean-Yves), Saint-Amand-Montrond, mémoires d'une ville, éditions du Cercle Généalogique du Haut-Berry, Bourges, 1998.

> LAGUÉRENNE (Henri de), Au pays Saint-Amandois, Saint-Amand-Montrond, 1920.

> MALLARD (Victor), Histoire des deux villes de Saint-Amand, Bourges, 1894.

> SOULAT (Raymond), Saint-Amand-Montrond sous la IIIème République, Saint-Amand-Montrond, 1976.

> TETU (Benoît), La Vie conjugale dans le Boischaut au XVIIIème siècle, mémoire de maîtrise sous la direction de Brigitte MAILLARD, Université de Tours, 2000. [A paraître]

> TODOROV (Tzvetan), Une tragédie française - Eté 1944, scènes de guerre civile, Seuil, Paris, 1994.

> TODOROV (Tzvetan) et JACQUET (Annie), Guerre et paix sous l'Occupation, Arléa, Paris, 1996.

 

Enfin, signalons également les nombreux articles parus depuis près de vingt ans dans le Bulletin des Amis du Musée Saint-Vic.

 

 

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